Compte rendu N° 3 : l’état de notre école.

Les deux premières classes ont été construites en 2007, il y a 11 ans.

Des travaux d’entretien sont absolument nécessaires :

  • beaucoup de fuites des toits,
  • Refaire des endroits de la chape,
  • refaire l’installation électrique,
  • Repeindre les salles de classes et les extérieures,
  • refaire un peu de cimenterie,

L’équipe enseignement demande la construction d’un bureau-salle des instituteurs, et l’achat d’armoires.

L’urgence absolue est la réfection de certaines endroits du toit afin qu’il n’y ait plus de fuites qui détériorent les plafonds et gênent les élèves.

On pourrait s’étonner qu’au bout de 11 ans ça se soit détériorer. Mais il faut savoir que lors de la saison des pluies ces pluies sont torrentielles avec des vents très forts.

L’électricité est enfin arrivée à l’école, mais elle n’est vraiment pas nécessaires car les cours finissent avant le coucher du soleil. L’installation électrique s’est détériorée : vol de tous les néons, de certains ballasts, d’interrupteurs etc… L’érection d’un mur et l’embauche d’un gardien serait souhaitable dans les années à venir. La remise en place de l’électricité permettrait de faire des cours du soir.

Je me permets de faire une proposition à l’équipe burkinabè de l’école : confier la réfection du toit à un ancien de l’ASFA (qui ne fait que des petits boulots de temps en temps) : Salif Sountoura. J’ai d’ailleurs eu le plaisir de rencontrer Salif le 21 novembre, mais nous n’avons pas évoqué ce sujet. Ce dernier a en effet obtenu son diplôme de technicien en bâtiment. Il est donc parfaitement qualifié pour faire ce travail.

Pour cela, Salif doit

  • créer sa micro-entreprise,
  • faire une évaluation de la réfection partielle de la toiture (remplacement de certaines tôles, enduits, cimenterie).

Le devis présenté doit l’être en deux parties :

  • achat de matériaux,
  • main d’œuvre.

Photos jointes :

État de plafonds (ce n’est pas dans toutes les classes pareil).

 

État d’une partie de la chape.

Nous attendons donc la réponse d’Oumarou et de son équipe.